Les montres Garmin, leader de la montre GPS

Vous avez du mal à choisir une marque de montre GPS ?

Il est vrai qu’il n’est pas forcément facile de faire le bon choix au vu de la multitude de modèles et de marques qui se lancent dans la technologie GPS. C’est pourquoi, nous vous conseillons d’opter pour la marque de montre leader de la technologie GPS, Garmin afin de ne pas être déçu et de pouvoir profiter pleinement de cette technologie innovante. Dans cet article, nous vous invitons à en apprendre davantage sur les fonctionnalités des différents modèles des montres Garmin.

Une montre Garmin pour une géolocalisation précise

Grâce à sa technologie GPS, porter une montre Garmin vous permet de profiter de la fonctionnalité de localisation. Cette fonctionnalité s’avère très pratique pour vous guider sur terre, en mer ou dans les airs. C’est pour cela que les montres Garmin sont idéales pour l’aviation, l’automobile, la marine, le sport et tout autre activité extérieure. La marque propose d’ailleurs des modèles spécialement conçus pour certains sports comme la plongée, la natation, le running ou encore le golf. Pratique non ? C’est le cas de la montre Approach S62, spécialement réalisée pour la pratique du golf. Grâce aux montres Garmin, vous avez accès facilement aux itinéraires que vous avez empruntés et vous pouvez vous orienter en toute facilité ! Toutefois, l’innovation ne s’arrête pas là…

Profiter d’un tracker d’activité performant

Pour les sportifs, la montre Garmin s’avère très utile puisqu’elle permet de mesurer vos performances et d’analyser vos progrès. En effet, vous aurez à disposition toutes les données nécessaires de votre séance de sport, ce qui vous permettra par la suite d’améliorer vos performances. Mais ces montres ne sont pas utiles uniquement pour les sportifs. Elles permettent à tout le monde d’améliorer son quotidien grâce à des fonctionnalités innovantes. Vous pouvez suivre votre condition physique dans le but de l’améliorer. Des données quotidiennes vous permettront d’améliorer votre santé en suivant l’évolution de votre pouls et de votre respiration. Mais ce n’est pas tout ! Elles sont également conçues pour votre bien-être puisque vous pourrez suivre la qualité de votre sommeil et votre niveau d’anxiété, deux facteurs primordiaux pour votre bien-être.

Des montres connectées et designs

Ces montres connectées offrent aussi des fonctionnalités plus classiques comme la possibilité d’y stocker vos musiques préférées pour les écouter quand vous le souhaitez. Un petit plus ? des modèles permettent même de payer grâce à la fonctionnalité Garmin Pay, un moyen de paiement rapide, pratique et sécurisé. Enfin, en plus d’être fonctionnel, n’oubliez pas que les montres Garmin sont également designs et agréables à porter.

Ainsi, cette marque leader de la montre GPS, vous offre un produit qualitatif, design et innovant pour un prix raisonnable. Alors, qu’attendez-vous pour vous en procurer une ?

Nous vous conseillons de vous rendre chez un spécialiste en horlogerie pour bénéficier d’un large choix de modèles et pour pouvoir être conseillé lors de votre achat.

La LG CLOi SuitBot : l’Homme augmenté, une réalité ?

Ridley Scott lui-même n’aurait pas pu imaginer une telle avancée, et pourtant LG y a pensé. Le 23 Août dernier, dans un communiqué de presse, la firme sud-coréenne a confirmé sa présence à l’IFA où elle présentera du 31 Août au 5 septembre prochain, son exosquelette robotique, la LG CLOi SuitBot.

Qu’est-ce qu’un exosquelette biomécanique ?

Sorti tout droit de l’imagination de l’auteur de science-fiction américain Robert Anson Heinlein, les recherches sur l’exosquelette biomécanique étaient, hier encore, cantonnées au champ militaire ou médical. En effet, bon nombre de programme de recherche (tel que le projet étasunien Armure Talos) à travers le monde, furent développés afin de créer des exosquelettes de combat destinés à équiper les soldats.

Il existe également un pendant civile à ces projets : créer des exosquelettes afin de redonner la possibilité de marcher, à des personnes souffrant d’handicape moteur (telle que la paraplégie). Ainsi, en France, le centre Clinatec (opérant depuis Grenoble) développe un exosquelette pouvant se mouvoir par la seule pensée d’un patient tétraplégique grâce à des implants cérébraux.

La LG CLOi SuitBot

Destinée à un usage « professionnel », la LG CLOi SuitBot se situe donc bien loin des considérations militaires exposées précédemment. Située majoritairement sur la partie basse du corps, l’exosquelette LG vise à aider l’être humain dans tous les travails de manutention, que ce soit pour soulever des objets lourds, marcher avec, ou tout simplement tenir debout ces objets.

Pouvant être connectés au service de robots LG afin de créer un réseau de travail intelligent, ces exosquelettes collecteront également un grand nombre de datas liées aux analyses biométriques, à l’environnement ou encore au travail demandé, qu’ils mettront au profit du machine learning afin d’optimiser au mieux leur consommation énergétique.

Deus Ex n’est donc pas si loin avec ce genre d’avancées techniques. Cependant, si cette initiative peut sembler être un début de réponse à l’aliénation des individus – présent dans le monde depuis le XIXième siècle – il faut quand même avoir un recule critique sur cet exosquelette. Car loin d’empêcher leur aliénation, la LG CLOi SuitBot pourraît tout aussi bien devenir un outil de contrôle (du travail effectué) redoutable pour les employeurs, en gardant une trace numérique de tous les efforts effectués par les employés et donc, de réduire encore le champ des libertés sur l’espace de travail.

La discrimination culturelle : un problème récurrent dans les nouvelles technologies

On pointe souvent du doigt les problèmes relatifs aux nouvelles technologies : obsolescence programmée, utilisation des données personnelles collectées, dérives possibles liées à la géolocalisation etc…  Mais ce n’est que récemment que la discrimination culturelle est devenue un problème majeur dans l’utilisation des technologies.

L’Iphone X : sa reconnaissance faciale mise en cause

Commercialisé depuis novembre 2017 dans le monde, l’Iphone X se présentait comme étant le smartphone révolutionnaire de l’année. En effet, plus besoin de l’ID Touche, désormais il vous suffit de présenter votre visage à la caméra pour déverrouiller votre téléphone : en principe, seul vous étiez donc en capacité de déverrouiller votre précieux smartphone. Seulement voilà, après un mois de commercialisation, un scandale venu tout droit de Chine remet en cause l’infaillibilité de la sécurité Apple. En effet, en décembre 2017, la technologie d’Apple fut accusée de discrimination culturelle, car si le Face ID fonctionnait quasiment parfaitement en occident, il n’en était pas de même en Extrême-Orient.

L’histoire commence début décembre 2017, dans l’empire du milieu, où une utilisatrice d’Iphone X parvient à déverrouiller le téléphone de son amie avec la reconnaissance faciale. Se rendant dans un app store pour découvrir l’origine du problème, la propriétaire du téléphone, se vit offrir un nouvel IPhone. Seulement voilà, le problème ne venait pas d’une déficience du premier téléphone, mais bien d’un problème du Face ID : ce dernier ne parvient pas à distinguer les utilisateurs chinois entre eux.

Ayant fait rapidement scandale en Chine puis dans le reste de monde, le cas de l’Iphone X repose donc la question de la discrimination culturelle dans les nouvelles technologies, question qui se retrouve à nouveau d’actualité avec une récente étude menée sur des assistants vocaux.

Les accents : bêtes noires des assistants vocaux ?

Récemment, le Washington Post, en partenariat avec des groupes de recherche, a fait état de la difficulté qu’avaient les assistants vocaux pour comprendre les personnes parlant l’anglais avec un accent autre que celui américain.  Ainsi, selon l’une des études menées, l’assistant Google ainsi qu’Alexa d’Amazon, verraient leur compréhension globale, se réduire de 2.6% en cas d’accent chinois et de 4.2% en cas d’accent espagnol.

Tandis que selon une autre étude, pour laquelle des expériences de lectures d’articles furent menées, même l’accent le plus léger dès lors qu’il n’est plus américain (ici l’accent britannique), n’est pas assez bien perçu par l’assistant pour que ce-dernier puisse rendre compte correctement d’un texte dicté.

Si la discrimination culturelle peut, à première vue, ne pas être un problème fondamentalement urgent à traiter, il pourrait le devenir. En effet, à l’image de l’aéroport de Nice ou celui de Paris utilisant la reconnaissance faciale pour effectuer le contrôle des frontières, d’autres instances adopteront bientôt également ce système de reconnaissance, or, comment considérer ces utilisations comme fiables, dès lors que la différenciation faciale de certaines ethnies est impossible ou que la reconnaissance vocale de certains accents est difficile ?  Plus que jamais donc, la discrimination culturelle doit être au cœur des préoccupations en matière de nouvelles technologies, à mesure où les utilisations de reconnaissances se généralisent.

Skagen Falster : la Smart Watch venue du Nord

Skagen est une marque de montres danoise bien connue des connaisseurs de montres haut de gamme. Créée en 1989, la marque fait désormais partie des grands noms de la montre en Europe. Cette marque s’attaque désormais au monde de l’objet connecté avec un nouveau modèle de montre connectée à internet et à votre smartphone : la Falster. Déjà disponible sur le marché, il faudra dépenser pas moins de 275$ (environ 220€) pour s’offrir ce bijou de technologie.

La Falster, une montre élégante et novatrice

Forte de son expérience réussie dans le monde de la montre analogique avec la Hagen, la marque danoise Skagen nous propose son modèle de montre intelligente fonctionnant en lien avec votre smartphone Android ou iOS. Munie d’une face totalement digitale, la Falster possède une puissance similaire à un appareil Android classique. Cette montre connectée possède toute une palette d’applications intéressante comme le traducteur, qui enregistre votre phrase et la retranscrit en une autre langue en affichant la traduction sur son écran. Sa batterie est également très intéressante puisque la Falster a en moyenne une autonomie d’une journée, même si cette durée peut s’avérer plus courte en cas de forte utilisation.

La Skagen Falster profite du savoir faire de la marque danoise en termes d’élégance puisque l’écran digital est accompagné d’un bracelet en cuir ou en métal. La seule chose négligeable sur l’élégance de cette montre est qu’il faut dépenser pas moins de 20$ supplémentaires pour pouvoir un bracelet en maille en acier.

Une montre connectée différente des Smartwatches habituelles

Si vous cherchez simplement une montre connectée ostentatoire qui vous donne une image de technologie, avec des écrans très lumineux et des bracelets en plastique élastique, la Falster n’est pas pour vous. En effet, la montre connectée danoise est bien plus sobre et se positionne très loin des clichés d’Apple et Samsung. Cette montre n’est pas un gadget qui vous n’est utile que pour briller avec votre technologie, ce n’est même pas un assistant de sport qui vous donne votre rythme cardiaque ou la température de votre corps.

La montre de Skagen est une montre connectée, au sens strict du terme. Cela signifie qu’elle fonctionne et possède l’utilité d’une montre classique 90 pourcents du temps. C’est ce qui est intéressant avec ce modèle, c’est qu’il possède l’élégance de la montre haut de gamme avec la technologie d’une Smartwatch. En réalité, on oublie rapidement que cette montre ne donne pas le rythme cardiaque, puisqu’elle n’est pas faite pour cela. Avec ce bijou de technologie et d’élégance, Skagen nous prouve que le monde de la montre classique n’est pas mort au XXIè siècle.

Instagram relance enfin son application pour Apple Watch

L’Apple Watch fêtera en avril 2018 ses 3 ans de commercialisation, puisque la première version de la montre connectée a été disponible en précommande dès le 10 avril 2015. Cependant, la mode du lancement d’application sur ce support ne semble pas terminée. Le dernier géant à avoir annoncé une version Apple Watch de son application mobile n’est autre qu’Instagram. L’application de la filiale de Facebook devrait être disponible sur ce support à partir du 2 avril 2018.

Instagram : une application de nature incompatible avec l’Apple Watch

En effet il semble que l’application ne soit naturellement pas adaptée aux possibilités et au concept même de la montre connectée. Même si cela ne vous gène pas de regarder vos photos sur un tout petit écran, l’Apple Watch ne peut pas lire les vidéos ni envoyer de messages. Cela devient gênant depuis que les Stories Instagram occupent une grande partie de l’application.
Sur certains points, Instagram rejoint d’autres géants comme Twitter (qui a supprimé son application pour Apple Watch en septembre dernier) ou Slack. Ces derniers considèrent qu’une application sur montre connectée est une aubaine et devrait être mise au premier plan puisqu’elle permettrait d’attirer de nouveaux utilisateurs et de multiplier les fonctionnalités. Cependant ils notent également les possibilités limitées des montres connectées actuelles et l’aspect superflu de beaucoup d’applications qui sont présentes sur ce support.

Un retour sur Apple Watch obligatoire

Compte tenu des doutes qu’Instagram avait sur l’Apple Watch, la filiale de Facebook avait supprimé son application sur la montre connectée lors de la dernière mise à jour iOS. Mais Instagram n’a pas vraiment eu le choix que de relancer une application spécifique. En effet, à compter du premier avril 2018, Apple n’autorise plus sur son Apple Watch que les « native apps », c’est-à-dire les applications conçues expressément pour Apple Watch. Il n’est donc plus possible d’utiliser des applications conçues pour les smartphones sur la montre connectée d’Apple. Instagram a alors eu deux possibilités : supprimer totalement sa présence sur le support Apple ou créer une nouvelle application spécifique à celui-ci. Bien évidemment la firme a décidé de rester présente sur la smart watch d’Apple et lance alors dès le 2 avril son application dédiée.
Reste désormais à savoir si cette application sera utilisable et utile sur l’Apple Watch, ou si elle ne sera qu’une application superflue de plus sur le support.

Flash-back dans les années 90 : Le Tamagotchi de retour !

Tous les enfants des années 90 connaissent ce nom : Tamagotchi. Véritable phénomène de mode il y a 15 ans, toutes les familles ont vécu une période au rythme de ces animaux virtuels de compagnie. Le concept de base était simple : il fallait s’occuper de cette petite bête tous les quarts d’heures sous peine de la voir mourir lentement. Aujourd’hui le Tamagotchi est de retour sur smartphone (iOS et Android).

Le retour de l’animal virtuel le plus connu

Longtemps enfermé dans un petit œuf en plastic et visible à travers un tout petit écran LCD de quelques pixels, l’animal virtuel Tamagotchi est de retour sur vos tablettes et smartphones. Le concept reste le même : il faudra chérir ce petit compagnon en le nourrissant ou en le lavant par exemple, sous peine de le voir dépérir lentement. Vous pourrez donc à nouveau vous prendre pour un père ou un dieu en faisant grandir ou mourir à votre guise votre compagnon virtuel. La question que l’on se pose est alors de savoir si ces Tamagotchis seront aussi fragiles que leur précédente version.

Ce concept est fondé sur la nostalgie des jeunes adultes, retrouvant des éléments qu’ils ont aimés durant leur enfance. Plusieurs exemples du même type ont connu un franc succès, comme les min consoles originales de Nintendo ou la réédition de certaines Barbies.

Les avantages du smartphone

Beaucoup auraient préféré revoir leur animal de compagnie virtuel sur le même support qu’à l’époque, afin de revivre totalement l’expérience de leur enfance. Cependant la version smartphone semble une bonne chose. Cette application « My Tamagotchi Forever », disponible depuis le 15 mars 2018, est gratuite sur les plateformes de téléchargement. En réalité cette application utilise un système « freemium », c’est-à-dire qu’elle est gratuite mais que vous pouvez acheter de la monnaie virtuelle propre au jeu pour développer d’avantage votre personnage.

Un des avantages est également la qualité de l’écran. En effet le Tamagotchi peut désormais profiter des avancées technologiques des quinze dernières années pour sortir de sa coquille de plastique. Il profite alors d’un relooking extrême avec en premier lieu l’arrivée de la couleur, qui n’était pas présente à l’époque. Il peut aussi désormais s’habiller avec des vêtements et des accessoires. Forte du succès de Pokémon Go, la réalité augmentée semble également une bonne chose pour le Tamagotchi, que vous pourrez voir manger ou faire ses besoins sur votre lit par exemple.

La seule ombre au tableau semble être la fâcheuse manie des gens de se lasser très vite de ce genre de phénomène, puisque déjà à l’époque nous avions pu voir mourir lentement bon nombre de Tamagotchis.

Snapchat et la réalité augmentée : juste une question de « timing »

L’ambition de Snapchat pour la réalité augmentée :

Evan Spiegel, PDG de l’entreprise Snapchat, a réaffirmé il y a deux semaines lors d’une conférence Goldman Sachs son intention de lancer la firme dans la réalité augmentée. Comme bon nombre d’entreprises du secteur, il souhaite satisfaire l’envie de ses clients de tester de nouvelles choses tout en favorisant le développement de nouvelles technologies ainsi que de nouvelles applications pour celles-ci. Son ambition est de créer des lunettes de réalité augmentée qui soient fonctionnelles, pratiques et qui gardent un certain style. Le problème c’est que personne n’a encore réussi cette prouesse. Les Google Glass furent un échec, le casque Magic Leaps nécessite un équipement dans le dos ou à la ceinture pour fonctionner. Les plus proches de réussir cet exploit sont Intel avec les Vaunt.  Evan Spiegel ne souhaite pas se lancer sur ce marché si son produit n’est pas réellement au point, il parle donc de « timing » pour lancer son produit au moment opportun. Le problème c’est que nous risquons d’attendre des mois voire des années avant que cette technologie soit réellement fonctionnelle, et les consommateurs risquent de ne pas être très patients et de se rabattre sur les produits déjà existant de firmes qui sont déjà sur le coup depuis un petit moment.

 

Où en est Snapchat aujourd’hui ?

À l’heure actuelle, Snapchat semble loin du bon « timing » pour se lancer réellement et de façon viable sur le marché des lunettes à réalité augmentée. L’entreprise a lancé en 2016 ses lunettes Spectacles qui furent un échec. Ces lunettes permettent de prendre des photos et d’envoyer les clichés sur votre téléphone. Ce modèle n’était pas pratique, avait une batterie limitée et une résolution moins bonne que celle des smartphones, par conséquent personne ne les avait au moment voulu. Ce fut un échec commercial puisque seulement 150 000 exemplaires furent vendus, et une semaine après leur sortie la moitié des utilisateurs ne les utilisaient plus. Le plus surprenant étant donc que Snapchat ait prévu des versions 2 et 3 de ces lunettes, prévues respectivement pour 2018 et 2019, sachant que la version 2 va uniquement corriger quelques bugs et devenir étanche, rien de révolutionnaire de ce côté-là.

Snapchat est décrit par son PDG comme une entreprise de caméra, mais le fait est qu’elle ne fabrique pas de téléphone, outils que chacun utilise pour filmer, mais uniquement une application. Le monde entier attend ces lunettes de réalité augmentée, mais le fait est que Snapchat n’a pas encore la capacité de les fabriquer. Une des raisons pour laquelle Snapchat n’est pas encore prêt à fabriquer ce genre de technologie est que la firme se situe encore dans la « vallée de l’étrange » (ou uncanny valley en anglais). Le fait est que le public n’aime pas ce qui est humanoïde mais qui ne ressemble pas parfaitement à l’humain. Ainsi les animations arc en ciel de Snapchat sont amusantes, mais l’entreprise ne produit pas encore du contenu assez proche de l’humain.

Samsung Galaxy S9 : un concurrent sérieux à l’IPhone X ?

Dévoilé le dimanche 25 février pour le congrès international du mobile (MWC), le dernier descendant de la gamme Galaxy S de Samsung devrait faire des émules. Déjà disponible en précommande, sa sortie officielle est prévue pour le 16 mars prochain et il faudra dépenser pas moins de 859€ ou même 959€ pour la version S9+. Mais celui qui devrait régner sans partage sur le marché des smartphones Android haut de gamme a pour ambition d’aller concurrencer son plus fidèle ennemi, le dernier IPhone.

 

Quelles sont les nouveautés par rapport à l’ancienne génération ?

Si le design n’évolue pas ou très peu, ce qui est une bonne chose puisque le design Galaxy S est satisfaisant et identifiable au premier coup d’œil, il y a tout de même du nouveau à se mettre sous la dent pour cette nouvelle version de la gamme de Samsung. Tout d’abord il y a le déverrouillage du téléphone qui est remanié et plus intelligent. Celui-ci s’appuie sur une combinaison de détections oculaire et faciale, et un nouveau système d’empreintes digitales a été ajouté. Il faut désormais les empreintes de deux doigts différents (de la même personne bien évidemment) pour pouvoir accéder au téléphone.

Pour ce qui est du système audio, Samsung a équipé son dernier appareil d’un système stéréo développé par AKG, ce qui est certes moins puissant qu’une enceinte que l’on connecte en Bluetooth mais qui est tout de même assez satisfaisant. Si Apple a sortie des écouteurs sans fil, Samsung reste fidèle aux écouteurs avec prise Jack, ce qui devrait ravir les habitués et tous les sceptiques des EarPods de l’IPhone X.

 

L’appareil photo, le vrai point fort du Galaxy S9 

En effet, Samsung a beaucoup miser sur son appareil photo et en fait le vrai point distinctif de son appareil. La demande de beaucoup d’utilisateurs était de faire en sorte que les photos soient faisables et de bonne qualité dans les endroits plus sombres ou a faible éclairage. C’est chose faite avec l’appareil du Galaxy S9, qui apporte un plus de 28% de luminosité sur les photos sombres. On notera également une diminution de 30% du bruit émis par l’appareil lors d’une prise de photo. Le Super Slo Mo est également une innovation pour le dernier modèle de la gamme de Samsung. Il est identique à celui que l’on trouve sur le Sony Xperia XV, il ralenti les contenus jusqu’à les rendre 4 fois plus lents, on peut même choisir une musique de fond parmi les 35 sons proposés par le smartphone. Ce système de slow motion est possible notamment grâce au système de détection de mouvement, qui lance la capture d’images dès qu’il repère un mouvement.

Par rapport à la concurrence, le dernier Smartphone de Samsung a pour objectif d’être un concurrent sérieux à l’IPone X, et cela passe par un appareil photo et des fonctionnalités semblables voire de meilleure facture. Samsung a donc misé sur une nette amélioration de son assistant vocal Bixby, qui commence à se mettre au niveau par rapport à Alexa, Siri ou encore Google Assistant. Bixby s’avère très utile, notamment pour la traduction en réalité augmentée. Il vous suffit de pointer votre appareil photo sur un signe pour que celui-ci soit traduit. Même si l’on note toujours des erreurs de traduction, ce système est tout de même révolutionnaire. Le Galaxy S9 propose également un système appelé AR Emoji, qui n’est ni plus ni moins que la version Android des Animojis Apple. Il est donc désormais possible de se filmer avec son smartphone et de voir en face de soi un avatar qui parle et réagit en imitant vos mouvements. Samsung, pour frapper fort face aux Animojis déjà en place, à obtenu un partenariat avec Disney pour l’utilisation de ses personnages.

On notera également la déclinaison du Galaxy S9 en Galaxy S9+. Ce dernier se différencie avec une RAM deux fois supérieure au modèle classique (6GB) et une batterie qui dure plus longtemps.

XGIMI CC Aurora : Projecteur novateur

D’ordinaire les projecteurs sont plutôt ennuyeux et nous rappellent les longues journées d’école. Utilisés surtout dans les entreprises pour afficher du contenu lors de réunions, les projecteurs sont également un bon moyen de gagner de la place chez soi en remplaçant la télévision. Il semblerait que le projecteur de XGIMI se fasse une place dans le cœur et le logement de certains.

Un packaging bien pensé

Il est vrai que ce projecteur soit le premier qui soit quelque peu excitant et qui donne vraiment envie d’en avoir un chez soi. Son design est parfait pour un appartement, il est compact et se fond très bien dans le décor, il est également facilement assimilable aux objets connectés et autres assistants de maison de Google ou Apple. Il possède une enceinte JBL intégrée qui diffuse parfaitement le son dans votre logement et qui semble parfaite pour des petites pièces ou des espaces plus larges. Il possède également une poignée sur son dessus pour un transport facile de pièces en pièces ou encore vers un autre appartement.
En tout et pour tout, ce projecteur met 6 secondes pour projeter vos contenus sur un mur ou un drap blanc, et son niveau de batterie vous est indiqué par 4 leds sur le dessus de l’appareil.

Une utilisation intuitive mais aussi quelques problèmes

Le projecteur de XGIMI est très facilement connectable en Bluetooth et fonctionne aisément avec les données mobiles Android et iOS. À l’arrière de l’appareil on peut trouver une prise jack pour y brancher ses écouteurs pour une intimité encre plus poussée avec le son du projecteur ; une entrée pour câble HDMi et deux ports USB. Pour contrôler l’appareil il est possible de le diriger directement depuis les commandes sur l’appareil, ou alors vous pouvez télécharger l’application mobile Android ou iOS. Vous trouverez dans ce projecteurs plusieurs applications déjà téléchargées comme Youtube par exemple, et vous pourrez en rajouter d’autres comme Netflix via l’application mobile.
Cependant, comme c’est une première version du produit quelques erreurs sont à prendre en compte. Le projecteur peut paraître un peu lent et il y a parfois quelques bugs comme un décalage entre le son et l’image. Pour éviter ce genre de produit il est conseillé de l’utiliser via un mobile ou de le brancher à un ordinateur. Son prix peut également représenter une barrière, puisqu’il est vendu à 600$, ce qui peut paraître encore assez cher si vous ne considérez pas ce gadget comme une nécessité.

EveryKey, système de sécurité intelligent

John McAfee, fondateur de l’antivirus qui porte toujours son nom aujourd’hui, est à l’origine de ce nouvel appareil de sécurité puisqu’il était jusqu’à janvier dernier le PDG de la startup américaine EveryKey. Ce système de sécurité intelligent est censé vous permettre de vous connecter à tous vos comptes sur internet et même à tous vos appareils sans taper le moindre mot de passe ou appuyer sur le moindre bouton.

Le système EveryKey, ça fait quoi exactement ?

C’est souvent un casse-tête de retenir une douzaine de mots de passe, et choisir le même mot de passe pour tous ces comptes en ligne est quelque chose de risqué. Si comme beaucoup d’entre nous vous en avez marre de déverrouiller votre téléphone une centaine de fois par jour avec un mot de passe, le système EveryKey est fait pour vous. En effet dès que vous êtes à proximité de votre téléphone l’EveryKey déverrouille votre appareil et il en va de même pour votre ordinateur. Mais ce système permet également de vous connecter en toute sécurité à vos logiciels et comptes en ligne sans que vous n’ayez à taper le mot de passe, et si vous vous éloignez ou quittez la page, le système vous déconnecte automatiquement.

Le système EveryKey fonctionne en bluetooth, il est donc possible également de l’utiliser pour votre système automobile ou encore votre maison avec vos objets connectés comme les lumières, les volets… Le prix de départ de l’EveryKey est de 165 dollars, mais comme le système vient seulement de pénétrer le marché, il est possible de trouver des offres sur internet pour l’avoir à 55 dollars.

Une sécurité militaire pour une sécurité optimale

En effet, le système de John McAfee crée et sécurise de nombreux mots de passes complexes pour vos comptes en ligne et vos appareils avec un cryptage militaire pour assurer la sécurité de vos informations. Vous pouvez avoir accès à tous vos appareils sans avoir à entrer vos mots de passe, mais ils bénéficient d’une sécurité militaire, ce système est donc une aubaine. Si vous perdez ou vous faites voler votre EveryKey, il est très facile de la « geler » depuis votre application smartphone ou en appelant la société EveryKey qui vous en enverra une nouvelle. Pas d’inquiétude pour vos informations et mots de passe, ceux-ci ne sont pas stockés directement sur la clé mais dématérialisés sur un serveur crypté, sans vous l’EveryKey est donc inutile.

Amazon Echo Spot : le « réveil » connecté Amazon

Il y a quelques mois, lorsque l’Amazon Echo Show est sorti, on se demandait si on allait avoir besoin d’un écran pour l’assistant de maison d’Amazon et sa voix Alexa. Il s’est avéré qu’avoir un écran en plus était en fait quelque chose de plaisant. Cependant l’Echo Show était un peu encombrant et n’avait pas un design des plus agréables, ne permettant pas de le poser au milieu d’une pièce. Echo Spot se positionne comme son petit frère. Plus petit et plus agréable à regarder, Echo Spot possède les mêmes fonctionnalités que l’Echo Show.

Un produit design et fonctionnel

Il est vrai que le nouveau jouet d’Amazon, en plus de son design agréable qui rappelle les anciens réveils avec sa forme ronde, est plutôt utile pour passer des appels vidéo, et même si la qualité audio est inférieure à celle de l’Echo Show elle reste tout de même plus qu’acceptable, et la prise jack située à l’arrière pour brancher d’autres enceintes se révèlera presque inutile. Disponible en blanc ou en noir, ce réveil se connecte au WiFi et en Bluetooth. Mais ce n’est pas qu’un simple réveil à écran tactile. Bien évidemment on peut l’utiliser comme réveil ou minuteur, mais on peut y retrouver la météo, un agenda, etc… Alexa vous permettra d’écouter votre musique favorite avec en plus un visuel, faire des recherches internet et passer des appels vidéo aux autres utilisateurs d’Alexa ou encore contrôler les autres appareils compatibles.

L’écran tactile 480 x 480 peut paraitre limité, mais cela suffit amplement pour les fonctionnalités et les couleurs attrayantes de l’Echo Spot. Le réveil est équipé des mêmes capteurs de son que le reste de la gamme d’Amazon, lui permettant d’avoir une très bonne sensibilité aux sons que vous émettez. Ce nouvel appareil a également la force de se brancher et de se mettre en ligne rapidement et facilement. Pas besoin de faire des réglages depuis votre smartphone, vous pouvez démarrer votre Echo Spot depuis son écran tactile.

Un écran tactile vraiment utile ?

En effet, après utilisation on peut se demander si l’ajout d’un écran tactile aussi petit pour accompagner Alexa est vraiment utile. Si l’écran tactile affichait des informations complémentaires à celles d’Alexa pourquoi pas, cependant dans ce cas là il y a très peu de choses apportées par l’écran à Alexa. Certes la voix d’Amazon est accompagnée d’images et donc apportent un visuel à ce qu’on écoute, mais utiliser l’écran tactile vous donne accès aux mêmes fonctionnalités que lorsque vous utilisez Alexa. De plus l’écran est un peu petit pour regarder des vidéos, et l’absence de Youtube due à un conflit entre Google et Amazon pourrait en décourager certains.

Le prix de ce gadget dernier cri est également un frein à l’achat. Pas encore disponible dans l’hexagone, le réveil d’Amazon est vendu 130$ aux Etats Unis. On peut se demander si à ce prix là on en a réellement besoin, puisque pour 20$ on peut acquérir l’Echo Show qui a un écran plus grand et des enceintes de meilleure facture, et que pour 50$ on a accès à la gamme Echo d’Amazon sans écran.

DJI Mavic Air, nouveau jouet des amateurs de drones

En ce début d’année 2018, DJI nous a dévoilé son nouveau drone Mavic Air, à mi-chemin entre le Spark et le Mavic Pro en termes de prix et de taille. La firme chinoise, leader mondial dans la vente de drones, nous propose désormais un drone que l’on peut aisément ranger dans sa poche tout en restant à la pointe de la technologie. Ce drone convient parfaitement aux débutants comme aux habitués de la marque et est le fruit de plus de douze ans d’expérience en matière de création de drones.

Un gabarit certes fin mais aussi fonctionnel

Effectivement le Mavic Air possède sans aucun doute la miniaturisation la plus poussée du marché. Ce petit drone transportable dans une poche est non seulement petit (19 x 12 cm) mais aussi très léger puisqu’il ne pèse que 430 grammes. Pas un seul centimètre n’est perdu, même au niveau du packaging, les joysticks de la télécommande sont dévissables pour le transport. Les hélices ne se démontent pas puisqu’une fois repliées elles épousent parfaitement la forme du drone. Le Mavic Air est étudié pour fendre l’air jusqu’à 68km/heure grâce une conception et des tests en soufflerie. Ce petit bijou, fruit de six mois de recherches en technologie et design, propose une autonomie de 21 minutes de vol et peut voler jusqu’à 5000 mètres d’altitude et supporter des vents allant jusqu’à 36km/heure. Son prix de départ est de 849€

Le Mavic Air, petit mais puissant

Ce modèle vient s’intercaler entre le Spark et le Mavic Pro, il offre donc tout de même une technologie et des fonctionnalités intéressantes que l’on retrouvait déjà chez ses aînés. S’il est dirigeable juste avec un smartphone pour une portée de 80 mètres, le commander via sa télécommande vous permettra une portée de 4km (attention, la réglementation française vous interdit de contrôler un drone qui n’est pas dans votre champ de vision). Vous pouvez également le contrôler avec des simples gestes de la main comme le Spark, pour des fonctions simples comme le décollage, avancer ou reculer par exemple. Le nouveau-né de la firme DJI est tout de même équipé de 6 caméras, ce qui lui offre une résolution de 12 méga pixels et vous permettra de filmer en 4k. Ses 6 caméras font également une reproduction 3D de l’environnement, permettant au drone d’éviter seul les obstacles qui s’opposent à lui. C’est également le premier drone avec sa propre capacité de stockage d’image, en effet il possède déjà 8go de stockage interne pour enregistrer directement vos photos et vidéos, et peut accueillir des cartes SD allant jusqu’à 128go.

Panasonic lance sa Smart Table

On les voit dans les films de science-fiction depuis de nombreuses années, les tables connectées et intelligentes sont désormais une réalité grâce à Panasonic. Présentée au salon CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas en 2017, cette table qui s’insère parfaitement dans la maison connectée telle qu’elle est vue par Panasonic a beaucoup fait parler. Même si la table présentée au salon est encore un prototype, il nous tarde déjà de pouvoir utiliser ce plateau dans nos cuisines.

Une interface intelligente

Comme tous les objets novateurs d’aujourd’hui, la table de Panasonic est intelligente et connectée à internet, et comme tous les nouveaux objets du marché elle a pour but de changer notre manière de surfer sur le web. Ici, grâce à votre table de cuisine, vous pourrez lire vos e-mails, effectuer des recherches sur votre moteur de recherche favoris ou regarder des vidéos en ligne. Vous pourrez y déposer et y synchroniser votre téléphone, afin de consulter vos messages et recevoir des coups de téléphone et même faire des appels vidéo. Votre table de cuisine sera également votre bureau, puisque vous pourrez y traiter tous vos appels et gérer vos contacts en reliant téléphone et ordinateur sur un même support.

Pour une cuisine toujours plus connectée

Cette table est certes connectée à internet, mais ce n’est pas son seul point fort. Effectivement si elle n’était qu’un simple écran connecté de plus dans la maison son intérêt serait limité. Mais qui dit table de cuisine intelligente dit fonctionnalités pour la cuisine. En effet la table intelligente de Panasonic permet de réchauffer ou de rafraîchir des choses grâce à un procédé d’induction. Cette table sera également connectée au reste de la cuisine et de la maison affin d’y gérer votre logement et tout ce qui est connectable. Ainsi on pourra régler la température du frigo, du four ou descendre ses volets depuis la table de cuisine. Panasonic ne révolutionne donc pas seulement la table de cuisine mais améliore encore ce qui se fait aujourd’hui en termes d’habitat connecté avec le HomeKit actuel d’Apple. Panasonic fait un grand pas en avant et prend donc l’avantage sur Apple puisque cette table va intégrer le système Smart Home, qui à l’avantage d’être connectable à iOS et Android, et touche donc une cible bien plus large que le HomeKit qui n’est connectable qu’à iOS.

Apple lance son « enceinte » connectée HomePod

Annoncé en juin 2017 par Apple, l’appareil domotique HomePod devrait arriver sur le marché d’ici peu. Même si la sortie de l’appareil, initialement prévue en décembre aux Etats Unis, en Grande Bretagne et en Australie, a été repoussé au début d’année 2018, nous ne devrions pas tarder à voir débarquer ce nouvel objet dans les magasins et les chaumières. Plusieurs mois après Echo par Amazon et le Google Home c’est au tour d’Apple de pénétrer le marché des assistants domestiques connectés.

 

À quoi va ressembler ce HomePod ?

 

Apple nous l’a fait découvrir en juin, nous connaissons donc les caractéristiques du HomePod même si celui-ci tarde à sortir. Haut de 18 centimètres, le HomePod prend une forme cylindrique que nous connaissons plus ou moins déjà avec le Google Home, même si comme on pouvait s’y attendre la marque de Tim Cook a prit soin de le rendre plus brillant et plus clinquant. Cependant son design et ses coloris (blanc ou noir) le rendent discret et on imagine aisément cette enceinte dans une pièce de chez soi.

Doté de 7 hauts parleurs répartis sur son contour et d’un caisson de basse maison, ce HomePod possédera également la puissance d’un Iphone6 grâce au logiciel embarqué d’Apple et un processeur A8. Etant donné qu’Apple positionne plus son produit comme une enceinte que comme un assistant domestique, la marque à la pomme mise énormément sur la qualité du son. L’enceinte devrait reconnaître l’environnement dans lequel elle est placée et envoyer le son en conséquence, en égalisant les basses et supprimant l’écho. L’enceinte est compatible avec tous les Iphones à partir de l’Iphone 5S, et il sera possible d’en connecter plusieurs entre elles au sein de la maison, celles-ci règleront alors le son au sein de l’habitation pour une qualité optimale.

Une interaction avec l’appareil grâce à Siri

Connecté à Apple Music et ses 40 millions de chansons, Siri qui sera l’interlocuteur direct du propriétaire de l’enceinte jouera le rôle du DJ. Joignable même de l’autre bout de la pièce grâce aux 6 microphones de l’appareil, Siri qui connaitra vos goûts en matière de musique vous proposera des playlists adaptées à vos envies et pourra même répondre à des requêtes plus précises en termes de musique puisqu’Apple a prévu d’intégrer à celui-ci des informations musicales plus poussées que celles des Iphones.

Grâce à la fonction HomeKit l’enceinte d’Apple, qui n’est pourtant pas positionnée par la marque comme assistant domestique au même titre que ses concurrents, pourra gérer votre quotidien et tous les objets connectés de votre foyer comme le chauffage ou le four (si ceux-ci sont compatibles avec HomeKit). Siri pourra également lire des textes et gérer les iMessages depuis le HomePod.

Une enceinte qui entend tout ce qu’il se passe chez vous, cela ne pose-t-il pas des questions de sécurité et d’intimité ? Pas de problèmes répond Apple, puisque l’objet connecté ne captera pas de son tant que la phrase « dis-moi Siri… » n’aura pas été prononcée pour activer l’écoute, et les interactions entre l’enceinte, Apple et internet devraient être cryptées.

 Comment se positionner sur un marché face à des concurrents déjà installés ?

Effectivement, Amazon et son produit Echo et Google avec son Google Home sont déjà présents sur le marché des assistants de maison. C’est pour cela qu’Apple décrit plus son produit comme une enceinte que comme un assistant domestique, même s’il remplit également cette fonction. Apple vise donc à la fois le marché des enceintes connecté dominé par Sonos et le marché des assistants domestiques. Le HomePod se veut être à la fois une enceinte de qualité supérieur et un assistant domestique à la hauteur de ses concurrents, mais faire tout à la fois, cela a un prix. Alors que Sonos vend ses enceintes à un prix moyen de 120$, le Google Home étant vendu à 129$ et l’Echo de Amazon à 50$, Apple explose la barre des prix avec une offre à 349$, soit tout de même sept fois plus cher que l’Echo et presque trois fois le prix du Google Home.

La question reste également entière sur l’adaptation de l’enceinte à d’autres applications devenues usuelles comme Spotify. Une chose est sûre, ce HomePod est attendu par les fans d’Apple depuis plusieurs mois et nous en saurons plus sur ses capacités à sa sortie, prévue cette fois début 2018.

Les nouveautés de la réalité augmentée

Si la fin de l’année 2017 a été très légère en termes de nouveautés dans le monde de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée, c’est parce que les constructeurs gardaient leurs innovations pour nous en mettre plein la vue au CES de Las Vegas début janvier. Le salon ayant fermé le 12 janvier, il est temps de faire un bilan des nouveautés dans le monde de la réalité augmentée.

De nouveaux casques de réalité augmentée

Certains voient en la réalité augmentée le nouveau phénomène qui succédera naturellement à la réalité virtuelle, et certaines entreprises et start-up essayent déjà de se positionner comme les leaders du marché. 4 d’entre elles nous ont dévoilé leurs produits innovants, et espèrent devenir à la réalité augmentée ce qu’est l’Oculus Rift à la réalité virtuelle.
Commençons par le produit le plus abouti : le Vuzix Blade. On compare déjà ces lunettes aux Google Glass et elles semblent en effet en être les héritières. Non seulement ces lunettes sont plus esthétiques que les casques concurrents, mais elles sont plus abouties. Permettant de superposer réalité et informations complémentaires, ces lunettes sont également équipées d’un assistant vocal avec Alexa d’Amazon. Cela permet à l’utilisateur de contrôler son casque avec la voix et donc de pouvoir l’utiliser avec les mains prises.
Le second casque est celui de la marque chinoise Rokid. Ce sont également des lunettes avec un assistant vocal, mais elles sont nettement moins abouties que les lunettes de Vuzix. Même si la marque dit qu’elles devraient être disponibles au grand public dans l’année, elles ne sont encore qu’un prototype est on imagine mal ces lunettes en vente pour le moment. Trop imposantes et avec un champ de vision limité à 35 degrés, les lunettes de la marque chinoise vont devoir évoluer avant de pouvoir être vendues sur le marché.
Lenovo était également présent à Las Vegas pour nous montrer son casque C220 destiné aux professionnels. Ces lunettes qui ne pèsent que 80 grammes et qui sont dotées d’un petit écran de 1080p sont reliées à votre smartphone pour la force de calcul et la connexion internet. Elles possèdent également une autonomie intéressante puisqu’elles sont équipées d’une batterie de 8000 mah.
Et enfin la bonne surprise fut le casque d’une strat-up de Honk Kong, le casque Realmax. Celui-ci se distingue des autres puisqu’il propose un champ de vision de 100 degrés, soit le plus grand champ de vision du marché.

De nouveaux logiciels pour équiper ces casques de réalité augmentée

Comme les casques de réalité augmentée se développent, il nous faut bien des logiciels intéressants pour pouvoir en profiter. Plusieurs d’entre eux ont attirés notre attention.
Tout d’abord il y a le Nvidia Drive AR : ce logiciel est conçu pour les pare brises de voitures, il a pour objectif de simplifier votre conduite et la réception d’informations liées à celle-ci comme le GPS par exemple, pour rendre la lecture d’information moins distrayante pour le conducteur et donc éviter certains accidents.
Un autre logiciel pour voiture a été présenté début janvier, c’est le Navion du suisse Way Ray. Il s’agit d’un GPS qui utilise la réalité augmentée, il sera disponible directement comme option dans les véhicules de certains constructeurs comme Honda par exemple ou alors en version adaptable à tous les véhicules, pour une somme avoisinant les 500 dollars.
On a également pu découvrir au CES 2018 le logiciel Usense AR, qui risque de démocratiser la réalité augmentée. En effet, contrairement à tous les autres logiciels, celui-ci est compatible avec tous les smartphones Androids, qu’ils aient une bonne ou mauvaise qualité de caméra.
Certaines innovations nous ont impressionnées comme Koolicar GO, cette application pour réalité augmentée vous permettra de localiser simplement votre véhicule loué via la start-up française. Nous voulions également saluer l’application Magik par Kolibree, qui rend le brossage des dents ludique pour les enfants en transformant ce moment en jeu, et où se brosser les dents rapporte des points.

Comment configurer et customiser sa smartwatch ?

Les possibilités de customisation extérieures

Ce n’est pas toutes les montres connectées qui peuvent être personnalisés. Dans cette catégorie, ce sont les produits Android Wear qui tirent leur épingle du jeu. Vous pouvez acheter des bracelets alternatifs pour la Moto 360, la LG G Watch et la G Watch R, la Samsung Gear Live et la Zenwatch d’Asus. Apple propose également des bracelets échangeables pour l’Apple Watch, mais souvent à des prix démesurés.

Les photos sur internet peuvent être trompeuses alors nous vous conseillons de commander vos accessoires directement chez le constructeur, et oublier les produits dérivés qui sont souvent de qualité médiocre.

Les possibilités de customisation à l’intérieur de votre smartwatch

Beaucoup de montres connectées donnent la possibilité de changer de thèmes. Par exemple, pour la LG Watch Urbane, vous pourrez vous rendre dans les paramètres, et choisir le fond de votre montre et des raccourcis vers les applications essentielles pour montre connectée.

Vous pouvez configurer votre montre selon vos besoins, par exemple changer l’affichage et choisir quels applications peuvent vous notifier.

Les applications pour customiser votre montre connectée

On aime la plateforme Android car elle propose de nombreuses applications pour modifier l’aspect de votre objet connecté. La Wear Mini Launcher par exemple est une application qui rend plus facile de manipuler les applications et Wearable Widgets vous permet d’avoir des notifications depuis votre smartphone – si vous disposez d’une Sony Smartwatch 2.

Vous pouvez également vous amuser avec l’application WearFaces pour créer un affichage taillé sur mesure sur votre LG G Watch, Samsung Gear Live ou Moto 360. Si vous préférez laisser le design a quelqu’un d’autre, il existe des affichages préconçus : Minimal et Elegant, fidèles à leur nom ; ou bien Pujie, pour ceux qui utilisent leur montre connectée pour jouer. Si vous êtes plutôt du genre sportif, misez sur l’écran « Runner » qui ne coûte qu’1 euro dans le Google Play Store.

Une des meilleures applications Android pour montre est la Watchmaker Premium, qui vous permet de télécharger des milliers de façade créées par des utilisateurs. Vous pourrez également créer la vôtre. La version gratuite vous propose 6 affichages, mais la version payante vaut bien le coup car il s’agit ds réalisations magnifiques – et vous ne serez jamais las de votre pièce de technologie connectée.

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