Mais pendant ce temps-là, Swatch est en train d’amasser un grand nombre de brevets pour montres connectées, ce qui témoigne de leur intérêt pour cette nouvelle technologie : pour être précis, 173 brevets aux États-Unis et dans le monde ont été déposés depuis 2012 !

Un désir d’indépendance face aux géants du marché

Ces brevets couvrent une large gamme de fonctionnalités, dont les batteries smart qui deviennent transmetteurs de données et même des solutions de système de circuits et de matériel informatique – bref, tout ce qu’il faut pour construire leur propre montres connectées sans l’aide de parties tiers. Cette initiative pourrait permettre à Swatch de trouver des solutions pour les plus gros problèmes des technologies connectées : autonomie insuffisante et fonctionnalités inintéressants. On est presque sûr que le Swatch ne va pas choisir Android Wear puisqu’ils ont déjà critiqué cette plateforme auparavant avant.

Swatch, pas totalement « out » du marché des montres connectées

Le créateur suisse ne se distance pas totalement du marché des montres et objets connectés : ils ont récemment lancé Bellamy, une montre aux fonctionnalités de paiement. La compagnie a également mis au marché la Touch Zero One, une montre connectée pour suivre les progrès en sport et entrainements. Cette dernière n’est pas l’objet qui pourrait concurrencer l’Apple Watch ou une montre Android Wear – on attend donc impatiemment la montre connectée de Swatch.